Revue de Presse

  1. TV5 Monde (international)
  2. TF1 (TV conservateur)
  3. Les Echos (journal économique )
  4. France 2 (YV gouvernementale)
  5. Liberation (journal de gauche)
  6. Ouest France (journal populaire)
  • Merci de lire les petits extraits d’articles, et de regarder les deux petites vidéos.
  • Il ne s’agit pas de passer des heures pour tout comprendre, il s’agit de réfléchir à quelques questions.
    • Comment le Covid a changé nos vies ? celles d’autres cultures ?
    • L’incidence du Covid sur la vie financière des étudiants français
    • Les jeunes face à la pandémie
    • la rentrée universitaire en France
    • les covid parties contre la vaccination

1 Comment le Covid a changé nos vies ?

TV5 Monde

  1. Quels sont les effets du Covid sur la vie des jeunes ?
    • Isolation / dépression
    • Retard sur le cursus scolaire
    • Les angoisses face au monde du travail (perte de l’emploi/crise économique)
    • Est-on privé de jeunesse ?
    • Peut-on garder ses rêves ?
    • Que pensez-vous du concept de génération sacrifiée

2. Le coût du logement reste un souci majeur pour les étudiants

LES ECHOS

Les dépenses liées à la crise sanitaire, comme les masques ou les frais internet pour les cours en ligne, pèsent sur le budget des étudiants mais le logement représente toujours la moitié des dépenses courantes.

Le coût de la rentrée s'élève en moyenne à 2392€ pour un étudiant de 20 ans en licence à l'université et n'habitant pas chez ses parents, selon la Fédération des associations générales étudiantes (Fage).
Le coût de la rentrée s’élève en moyenne à 2392€ pour un étudiant de 20 ans en licence à l’université et n’habitant pas chez ses parents, selon la Fédération des associations générales étudiantes (Fage). (Sebastien ORTOLA/REA)
Publié le 16 août 2021 à 16:36Mis à jour le 16 août 2021 à 16:54

Après un an et demi de crise sanitaire aux lourdes répercussions financières et psychologiques , le coût de la rentrée progresserait de 1,32 %, selon une enquête de la Fédération des associations générales étudiantes (Fage) publiée ce lundi. Une hausse légèrement supérieure à l’inflation (1,2 % en juillet sur douze mois). Selon les calculs de la Fage, un étudiant de 20 ans en licence à l’université et n’habitant pas chez ses parents devra en moyenne débourser 2392€ pour la rentrée.

L’enquête de la Fage, réalisée depuis 2002 selon les mêmes critères, permet de mesurer l’évolution des dépenses au fil du temps. L’année dernière, le coût de la rentrée avait augmenté de 3.21 %. Cette année, «on constate une augmentation des frais courants malgré toutes les mesures qui ont pu être ponctuellement mises en place pendant la crise sanitaire» du Covid, regrette le président de la Fage, Paul Mayaux.

le Covid fait monter la facture

L’indicateur de la principale fédération étudiante distingue les frais de vie courante des dépenses spécifiques à la rentrée. Les frais courants, mensuels, comprennent le loyer, les charges, l’alimentation, les loisirs, les transports, et atteignent 1197€ cette année. Les dépenses liées à la rentrée (l’inscription à l’université, les frais d’agence, le matériel pédagogique…) se chiffrent à 1164€, un prix toutefois très inférieur à ce que l’on constate dans la plupart des pays développés où les frais d’inscription à l’université sont beaucoup plus élevé.

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La crise sanitaire a également engendré des surcoûts pour les étudiants. Les frais de téléphonie et d’Internet, pour l’enseignement à distance notamment, sont en hausse de 7%. Les masques et le gel hydroalcoolique représentent un nouveau poids dans leur budget depuis l’année dernière. Enfin, les cours en ligne engendrent des coûts en matériel pédagogique (achat d’un nouvel ordinateur par exemple), en hausse de 2.7%.

Le poids du logement

La hausse de 0.28 % des frais courant cette année s’explique principalement par une augmentation du coût des produits alimentaires ou d’hygiène. Le logement, qui représente 50 % des frais courants mensuels des étudiants, se chiffre en moyenne à 675€ (+2 %) en Ile-de-France, et à 500€ en région (+1.9 %). Les frais spécifiques à la rentrée sont en légère baisse (-0,31 % par rapport à 2020), mais restent «exorbitants» selon la Fage.

Cette hausse des dépenses intervient dans un contexte où les jeunes sont particulièrement affectés par la crise sanitaire. Selon un sondage Ipsos pour la Fage, 72 % des 18-25 ans déclarent avoir rencontré des difficultés financières un an après le début de la crise. Pour subvenir à leurs besoins, près d’un étudiant sur deux a un job, a rappelé la Fédération étudiante.

Pour lutter contre la précarité étudiante, la Fage plaide pour une allocation de rentrée de 275 euros, la généralisation de l’encadrement des loyers ou encore le remboursement des consultations chez le psychologue. L’organisation prône également une réforme des bourses sur critères sociaux, qui permettrait d’étendre le dispositif aux étudiants issus des classes sociales « moyennes-basses ». Le but est de toucher « 300.000 jeunes précaires mais pas boursiers pour l’instant » selon le président de la Fage, Paul Mayaux.

3,3 milliards

En réponse à ces critiques et propositions, le ministère de l’Enseignement supérieur, dans un communiqué publié lundi, rappelle «son engagement fort en faveur de la vie étudiante» sous la forme de «3,3 milliards d’euros pour les aides sociales» sur trois ans. Entre autres mesures adoptées pour cette rentrée, il y a notamment le gel des frais d’inscription ou l’augmentation de 1 % des bourses.

Dimanche, l’Unef avait estimé à près de 40 euros par étudiant le recul annuel des aides versées par l’Etat depuis le début du mandat d’Emmanuel Macron, alors que le coût de la vie étudiante a augmenté de plus de 10 % sur la même période selon le syndicat étudiant.

  1. Le coût du covid chez les étudiants
    • Augmentation des coûts liés à la crise économique
    • Augmentation des coûts liés aux besoins pour palier au confinement (logement)
    • Nouvelles dépenses (matériels sanitaire et matériel informatique)
    • Pensez-vous que le Covid augmenté le coût de votre vie ?
    • Que pensez-vous des éléments cités dans l’article ?
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3. Covid-19 : entre les jeunes et l’épidémie, une corrélation qui inquiète

  • Covid-19 : entre les jeunes et l'épidémie, une corrélation qui inquiète
Le taux d’incidence chez les 20-29 ans est le plus élevé à l’échelle nationale. Avec l’été, le besoin de souffler et de se retrouver, certains relâchent parfois les gestes barrières.France 2
France Télévisions

13 Heures
Édition du vendredi 23 juillet 2021
Des terrasses rennaises, le 9 juin 2021. Photo d’illustration.

Après de très longs mois de pandémie de Covid-19, les jeunes veulent profiter de l’été pour décompresser et, enfin, se retrouver. Mais la quatrième vague est déjà tournée vers eux. Le taux d’incidence, à l’échelle nationale, chez les 20-29 ans, est de 271 cas pour 100 000 habitants. Localement, il est encore plus élevé : 710 en Corse, 535 en Provence-Alpes-Côte d’Azur, 510 en Occitanie. Et pendant les vacances, parfois, il y a un certain relâchement dans les gestes barrières.

Des taux très élevés chez les jeunes

Sur une brocante d’Antibes (Alpes-Maritimes), le masque, pourtant obligatoire, n’est pas systématiquement porté. “C’est bizarre, mais on a l’impression qu’on est immortels. On se dit qu’on ne va peut-être pas le mettre, qu’il ne va rien nous arriver, explique une jeune femme. “Pour ma part, je fais beaucoup moins attention, j’ai l’impression que c’est derrière nous“, répond un autre témoin.

Pourtant, le nombre de cas positifs est beaucoup plus nombreux que sur d’autres catégories d’âge. “Chez les jeunes de moins de 30 ans, il est déjà trop tard. L’épidémie progresse très rapidement, les taux sont déjà très élevés, on ne pourra plus endiguer l’épidémie. Il faut prendre ses précautions pour ne pas contaminer des gens à la maison, fragiles ou pas vaccinées“, décrypte Damien Mascret, médecin et journaliste à France Télévisions. Certains se montrent tout de même encore prudents. “Il faut garder une norme sanitaire rigoureuse encore“, martèle une femme dans un centre de vaccination de région parisienne.

  1. Les jeunes et l’épidémie
    • En France il y a eu deux confinements très stricts
    • En France il y a eu le couvre-feu assez drastique
    • Comment expliquez-vous que les jeunes soient plus touchés par le covid ?
    • Avez-vous le sentiment d’être immortels ?
    • Avez-vous le sentiment que la crise est derrière nous ?
    • Avez-vous tendance à vous relâcher ?

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4. A l’université, une rentrée masquée mais sans distanciation

LIBERATION
Portée par les bons chiffres de vaccination chez les étudiants, la ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, a annonce une rentrée 100% en présentiel, sans jauge ni distanciation mais avec masque, aération et autotest.
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Le principe de base de la rentrée sera donc sans jauge mais avec masque dans les amphithéâtres et classes de cours, a précisé Frédérique Vidal ce mercredi. (Damien Meyer/AFP)

par Olivier Monod

publié le 25 août 2021 à 18h08
Ouf, les universités savent enfin quelles seront les règles pour la rentrée universitaire. La ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, a détaillé ce mercredi dans Le Parisien les derniers points qui restaient en suspens. Le gouvernement poursuit sa volonté d’une rentrée 100% présentielle pour les étudiants – privés d’une présence continue dans leurs facs depuis plus d’un an –, notamment grâce à une vaccination qui avance bien chez les jeunes. «Pour la rentrée, ils seront 80% à [avoir reçu] deux doses» de vaccin contre le Covid-19, estime Frédérique Vidal. L’effort va se poursuivre avec le déploiement, déjà annoncé, de centres de vaccination sur les campus, à l’occasion de la rentrée de septembre.L’Etat a également distribué 2,5 millions d’autotests pour permettre d’amorcer un dépistage régulier des étudiants et professeurs tout au long de l’année. Une bonne couverture vaccinale et un dépistage régulier sont deux éléments clés pour éviter toute fermeture des établissements d’enseignement, selon une étude française prépubliée cette semaine cosignée par la chercheuse à l’Inserm Vittoria Colizza et plusieurs membres du conseil scientifique.Self-testing and vaccination against COVID-19 to minimize school closure https://t.co/7yzRZtJJxr

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Pass sanitaire pour les fêtes étudiantes

Le principe de base de la rentrée sera donc sans jauge mais avec masque dans les amphithéâtres et classes de cours. «On conserve le respect des gestes barrières comme le port du masque ou les consignes d’aération et de nettoyage des locaux qui avaient été mis en place au second semestre», explique la ministre, qui a été largement critiquée depuis le début de la pandémie pour son inaction face à l’impact de la crise sanitaire sur les étudiants. Un changement de discours notable de Frédérique Vidal, lors d’une conférence de presse en juillet, n’avait pas du tout insisté sur l’importance de l’aération des salles pour lutter contre le Covid-19. Elle n’annonce en revanche pas de ligne budgétaire supplémentaire pour les établissements.

Le pass sanitaire ne sera exigé que pour les fêtes étudiantes, les évènements culturels ou sportifs et les colloques scientifiques de plus de 50 personnes. Enfin, pour limiter l’apparition des clusters, l’assurance maladie sera saisie dès «trois cas positifs dans une même unité d’enseignement». Les cas positifs et les cas contacts devront s’isoler sept jours, mais un étudiant vacciné ne sera pas considéré comme cas contact et pourra continuer à venir en présentiel. Reste à savoir si le protocole sera bien appliqué (notamment au sujet de l’aération) et suffisant pour limiter la propagation du variant delta.

Les étudiants sortent d’un an et demi de cours à distance, en présence, en hybride, ou en asynchrone. Leur sociabilité est en berne, tout comme leur bien-être et leurs finances. On ne peut que leur souhaiter une année à peu près «normale»

  1. La rentrée universitaire en France
    • Que pensez-vous de la rentrée universitaire à la française ?
    • 80% des étudiants français sont vaccinés … qu’en pensez-vous ?
    • Que pensez-vous du pass sanitaire à la française ?
    • Pass sanitaire pour faire la fête, c’est bien ?

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5. « Covid party ». Ils cherchent à se faire contaminer pour décrocher leur passe sanitaire

OUEST FRANCE

Plutôt que de se faire vacciner, des personnes préfèrent attraper volontairement le Covid-19 pour se voir délivrer un certificat de rétablissement ouvrant le droit à l’obtention d’un passe sanitaire. C’est risqué, quel que soit l’âge.

US students throw 'coronavirus parties' to infect guests, giving prizes to  those who catch Covid-19 first | South China Morning Post
Sur les réseaux sociaux, les invitations à des « Covid party » pullulent. | GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO
Ouest-France Samuel NOHRA. Modifié le Publié le

Dans le Morbihan, le taux de contamination des jeunes de 16 à 25 ans est de 460 pour 100 000. Deux fois plus qu’en Ille-et-Vilaine. Une flambée que les autorités sanitaires n’analysent pas clairement, tout en soupçonnant qu’il pourrait être corrélé à des contaminations volontaires.

« Je cherche un cluster pour faire une « Covid party » », peut-on lire sur un tweet posté mardi. « Si vous êtes positif je vous convie chez moi pour une « Covid party » » propose, toujours sur Twitter, ce jeudi, un compte anonyme. Les réseaux sociaux pullulent de ce type de message. Un phénomène qui n’est pas nouveau. L’été dernier, aussi bien aux États-Unis qu’en France, des fêtes destinées à se contaminer ont été organisées, dans le but douteux d’acquérir volontairement une immunité « naturelle ».

Ces dernières semaines, un nouveau type de « Covid party » émerge et inquiète les autorités sanitaires. « Des personnes cherchent à se contaminer volontairement avec le Covid-19 espérant ainsi obtenir un passe sanitaire via un certificat de rétablissement Covid », explique un médecin rennais.

Le certificat de rétablissement correspond à un test PCR positif effectué il y a plus de onze jours et moins de six mois. Il atteste que la personne a déjà eu le coronavirus et qu’elle est aujourd’hui guérie avec des risques de réinfection limités. Depuis le 29 juillet, ce certificat peut permettre d’obtenir un passe sanitaire.

« C’est triplement idiot »

Chef du service d’infectiologie du CHU de Rennes, le professeur Pierre Tattevin ne mâche pas ses mots. « C’est triplement idiot, l’idée de vouloir attraper le virus pour avoir le passe sanitaire, lance-t-il spontanément. C’est d’abord idiot à titre individuel. Même si les sujets jeunes font moins de Covid graves, ils sont exposés à ce que l’on appelle le Covid long. Être douloureux et fatigués au moindre effort pendant des semaines, voire des mois. C’est un risque qui n’est pas du tout négligeable. »

Deuxième problème : « S’ils font ça, ils vont contribuer à la circulation du virus avec le risque de contaminer d’autres personnes plus fragiles. » Dernier argument, et non des moindres : « Nous sommes encore dans un équilibre très fragile dans la course contre la montre entre le vaccin qui doit nous protéger et les variants qui émergent. » Il invite fermement à la vaccination, moyen le plus simple et sûr d’avoir son passe sanitaire.

Les trois quarts des 18-29 ans, ainsi que la moitié des 12-17 ans, ont reçu au moins une injection.

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  1. Les Covid parties
    • Que pensez-vous du désir d’obtenir une immunité naturelle ?
    • Avez-vous pensé à vous contaminer dans une Covid partie ?
    • Le certificat de rétablissement, est-ce une bonne chose ?
    • Faites-vous la différence entre Covid grave et Covid long ?
    • Pensez-vous que la vaccination est le seul moyen de survivre la situation ?

6 Comment le Covid a changé nos vies ?

TF1

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  1. Les changements dans notre vie
    • Les gestes du quotidien
      • Distance
      • Masque
    • La peur qui rapproche ?
      • Nouveau rapport aux autres
    • Se réapproprier le quotidien
      • Contact à la nature
      • Le temps
      • L’espace
    • Prendre d’autres habitudes
      • Vouloir s’évader
      • Chercher un autre quotidien
      • Savourer l’instant présent