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Les couloirs dans la Salle de bain
La Salle de Bain est un roman écrit par Jean-Philippe Toussaint en 1985. Il se déroule à Paris et à Venise. Il y a deux personnages principaux “je” et Edmonsson.” Je” qui est aussi le narrteur est un chercheur français, il passe son temps à ne rien faire, surtout dans la salle de bain, chez-lui ou bien, dans une salle d’un hôtel. L’autre personnage principal est sa femme «Edmondsson» qui travaille dans une galerie d’art. Ils ont des relations bizarres, basées seulement sur des incompréhensions et le sexe.
Il est largement connu que la vie est difficile à cause du travail, de l’argent, des relations et beaucoup d’autres raisons. Toussaint applique un assortiment de techniques littéraires dans ce roman pour montrer qu’il est nécessaire de trouver des manières particulières pour gérer les difficultés de la vie.
Toussaint utilise des couloirs tout au long de l’œuvre. Avec cet “objet”, il met en œuvre des leitmotivs, l’imagerie visuelle et l’allusion. Ils aident tous à générer le thème qu’on doit échapper à la vie ou sinon, souffrir.
La plupart d’entre nous vivent la vie sans considérer l’importance des choses les plus simples. Cela est validé par les couloirs. On quitte les chambres tout le temps. Au matin, on part pour l’université ; en fait, on part pour un autre chapitre de la vie. Ce chapitre commence dès qu’on entre dans le couloir. Pour résoudre les querelles, on dit «faire un tour dans le couloir» ; dans les films, quand les mauvaises choses se passent à l’hôpital, les gens vont dans le couloir pendant un moment bref.
Dans La Salle de Bain, «Je» n’a pas trop de problèmes à s’inquiéter, mais il veut vivre sereinement. C’est pourquoi il décide de s’installer dans la baignoire au début de son roman ; c’est pourquoi il quitte rarement sa chambre à Venise. C’est vraiment pourquoi les couloirs apparaissent et reviennent, parce qu’ils sont un symbole de l’évasion. «Je» vit sa vie dans un grand couloir figuré ; à l’extérieur du monde publique, et la communication des autres. En le faisant, il laisse ses problèmes. Toussaint veut dire que l’évasion nous rend heureux, et qu’on doit échapper à la vie de temps en temps.
Toussaint emploie l’imagerie visuelle dans les scènes avec les couloirs pour continuer à vendre le thème. Quand «le soleil traversait le couloir… toutes les vitres scintillaient, les plantes vertes resplendissaient. [Je] étai[t] heureux» (Toussaint 78). L’imagerie d’éclat met l’accent sur le fait que «Je» est heureux et qu’il n’est pas seulement dans un corridor, mais qu’il est dans un état d’esprit insouciant. Aussi, il y a une scène où Edmondsson et lui «s’embrassent dans le couloir blanc» (Toussaint 97). La couleur blanche illustre le pouvoir de cette action qui s’est passée dans un couloir.
Les objets placés dans les couloirs du roman sont l’explication la plus importante pour trouver la raison pour laquelle ils sont-là. Vraiment, si les couloirs sont un type d’évasion pour «Je», cela aurait du sens que ces objets stimulent les sentiments heureux pour «Je». Quand il jette une fléchette sur le front d’Edmondsson et qu’ils arrivent à l’hôpital, l’auteur dit que «le couloir était désert, d’une longueur infinie… il n’y avait aucun bruit, juste une odeur d’éther» (Toussaint 96). Pour «Je», le silence est le soulagement. C’est la même chose avec l’éther chez les gens normaux ; Toussaint l’a mis-là exprès ; faisant allusion à un analgésique.
À l’aéroport, à la fin du roman, «Je» a eu plusieurs heures à perdre-là avec un étranger. «Après avoir vadrouillé l’un à côté de l’autre dans une partie éloignée du hall, [ils] se retrouv[èrent] à la buvette pour boire des bières» (Toussaint 126). Ici aussi, Toussaint utilise le hall comme un symbole pour échapper la vie, un hall entre Venise et Paris ; il y ajoute la bière, qui est, aussi, une façon courante pour les gens d’oublier la vie.
En fait, dans La Salle de Bain, la vie de «Je» est seulement une grande évasion de la vie quotidienne. C’est pour montrer qu’il est normal de trouver une façon d’échapper à nos problèmes de temps en temps. Cependant, nous devons plonger dans l’évasion avec modération. S’il on ignore nos responsabilités et ceux qu’on aime, on n’oublie de vivre et tout est perdu!
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